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LA LETTRE DE FLORENCE

TÉMOIGNAGE :
Dans son livre  »LA LETTRE DE FLORENCE ou À PRÉSENT, JE VOIS ! », le Dr Benjamin F. SCHERMAN partage, d’une façon poignante et éclairante, le témoignage de son vécu  »au printemps de l’année 1958… » grâce à l’extrait d’une lettre écrite à Florence en Italie. En introduction, il écrit :

« … et il peut témoigner de ce qu’il doit sa guérison complète à la vérité qu’elle contient. cette lettre devint pour lui une force, un impact spirituel, et c’est à cause de sa guérison que ce livre fut écrit ; car l’homme en question en est l’auteur.

Je suis donc dans la même position qu’un de mes amis qui dit : »Je ne crois pas aux miracles, j’en ai trop vu ! ». Peu après la deuxième guerre mondiale, j’eue connaissance de « La lettre de Florence ». Depuis, elle m’a été donnée plus d’une douzaine de fois, toujours de personnes et de sources différentes, mais toujours la même.

Au début, je ne la pris pas au sérieux ; mais à force de la recevoir, je me mis à l’étudier et elle à pris profondément racine dans ma conscience. En fait, je suis possédé par la conscience de « la petite voix tranquille » qui me dit : »Fais passer cette lettre au monde entier, afin qu’elle soit prisée par les hommes ».

L’influence de « La lettre de Florence » s’est accrue comme une graine croit dans un sol fertile. Elle a circulé, d’un ami à un autre, tant de fois que son origine, le nom de celui qui l’écrivit, s’est perdu. Si nous regrettons de ne point pouvoir honorer l’auteur, nous sommes consolés en prenanrt conscience de ce que cela est de peu d’importance par rapport à la puissance dynamique de son message. »

Voici l’extrait de « La lettre de Florence » :

Je veux vous écrire au sujet de mes yeux.
Alors que j’étais aveugle, maintenant je vois.
Il m’a été bon de quitter New York, de me débarrasser de moi-même.
J’ai appris à faire vivre en moi la Science Spirituelle,
à ce qu’Elle ne soit plus pour moi que des mots,
et je vais vous révéler le merveilleux secret :

C’est de ne voir, ni d’entendre, ni de répéter aucune sorte d’imperfection.
C’est de voir, d’entendre, de répéter le Bien, le Bien uniquement,
à tout moment, en toutes circonstances,
en dépit de tout ce qui semble contraire.

Je prends cette résolution chaque matin lorsque j’ouvre les yeux,
et j’y reviens à chaque heure du jour.
Je vois la Perfection, Cause Parfaite- Effet Parfait, Dieu Parfait- Homme Parfait,
et je refuse de faire une exception.
Je refuse d’admettre la plus légère imperfection en moi-même,
en mes amis, en mes soi-disant ennemis, en mes affaires, dans les affaires du monde.

Je prends position radicale pour la Perfection de Dieu, de Chacun et de tout ce qu’Il fait.
Je regarde le monde avec les yeux de Dieu, et je le vois comme Il le voit.
Je refuse de le voir d’aucune autre façon.

A maintes reprises, au cours de la journée, je renouvelle ma résolution,
et pour m’assurer que je ne tombe pas dans l’erreur, cédant à la peur, ou à la critique,
je surveille mes pensées envers les gens, les infirmes, les vieux,

ceux qui (aux sens physiques) paraissent sans grâce, et aussi les animaux.

J’ai pris position radicale pour la Perfection en toutes choses,
et je ne sortirai absolument pas de cette Dimension.

Le résultat a été merveilleux, lent, mais merveilleux.
Je travaille à nouveau, mais non comme je travaillais.
Je n’ai plus besoin de lunettes.

Regardez avec les yeux de Dieu,
vous verrez un Univers Parfait.

Les conditions extérieures sont les images
de notre penser profond.

Pour changer ces images,
il faut changer les pensées qui les ont créées.

Auteur inconnu

Extrait du livre de 50 pages : « LA LETTRE DE FLORENCE ou À PRÉSENT JE VOIS !  »

Benjamin F. SHERMAN – Traduit de l’anglais par Mary Sterling – Unité Universelle Paris

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