AUGUSTIN D’HIPPONE
(354 – 430)
– « Aime et fais ce que tu veux. »
– « La nécessité ne connaît pas de loi. »
– « Peut-il aimer son frère sans aimer l’Amour ? Nécessairement, il aime l’Amour. En aimant l’Amour, il aime Dieu. »
– « Heureux celui qui vous aime, qui aime son ami en vous et son ennemi à cause de vous. »
– « La récompense de Dieu, c’est Dieu Lui-même… Demandez autre chose si vous trouvez quelque chose de mieux. »
– « Notre coeur est inquiet tant qu’il ne T’a pas trouvé. »
– « Je suis Dieu et Je suis ton Dieu. Comment suis-Je Dieu ? Comme il a été dit à Moïse : »Je suis Celui qui est. » Comment suis-Je ton Dieu ? Je suis le Dieu d’Abraham et le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob. »
– « Lorsque j’aime mon Dieu, c’est la lumière, la voix, l’odeur… de mon être intérieur que j’aime. Là où resplendit la partie de mon âme que ne circonscrit pas le lieu, où résonne celle que le temps n’emporte pas… et où se fixe celle que le contentement ne disperse pas. Voilà ce que j’aime lorsque j’aime mon Dieu. »
– « Crois pour comprendre…Les miracles ne sont pas en contradiction avec les lois de la Nature, mais avec ce que nous savons de ces lois.
– « Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-là . »
– « La Liberté est le privilège des grands Coeurs. »
– « La mesure d’aimer Dieu, c’est Dieu même ; la mesure de cet amour, c’est de L’aimer sans mesure. »
– « Accéder à la Béatitude : il n’y a pas d’autre raison de philosopher. »
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MÈRE TERESA
(1910 – 1997)
LE BONHEUR
Le bonheur, c’est tout petit,
Si petit que, parfois, on ne le voit pas.
Alors on le cherche, on le cherche partout.
Il est là dans l’arbre qui chante dans le vent.
Dans le regard de l’enfant,
Le pain que l’on rompt et que l’on partage.
La main que l’on tend.
Le bonheur, c’est tout petit,
Si petit, parfois, qu’on ne le voit pas.
Il ne se cache pas, c’est là son secret.
Il est là , tout près de nous, et parfois en nous.
Le bonheur, c’est tout petit,
Petit comme nos yeux pleins de lumière
et comme nos coeurs pleins d’amour !
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