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GANDHI

(1869 – 1948)

–  »Je vois la beauté dans la vérité. »

–  »Il suffit qu’un seul être humain fasse un pas en avant pour que la terre en profite. »

–  »La vie est un mystère qu’il faut vivre , non un problème à résoudre. »

–  »Un arbre qui tombe fait beaucoup de bruit, une forêt qui pousse le fait en silence. »

– ‘’La fin est dans les moyens comme l’arbre est dans le fruit.’’

–  »La vieille philosophie de l’œil pour l’œil n’a jamais fait que des aveugles. »

–  »La haine tue toujours, l’amour ne meurt jamais. »

–  »Le bonheur c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles. »

–  »A l’instant où l’esclave décide qu’il n’est plus esclave, ses chaînes tombent. »

–  »Le plus grand voyageur n’est pas celui qui fait plusieurs fois le tour du monde, mais celui qui fait UNE seule fois le tour de lui-même. »

Source : correspondances postales, internet : e-mail, blog…

Voir site : http://www.babelio.com/auteur/Mahatma-Gandhi/30535/citations

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– ‘’La véritable éducation consiste à tirer le meilleur de soi-même. Quel meilleur livre peut-il exister que le livre de l’humanité ?’’

– ‘’La démocratie devrait assurer au plus faible les mêmes opportunités qu’au plus fort.’’

–  »En opposant la haine à la haine, on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur. »

–  »C’est une erreur de croire qu’il n’y ait pas de rapport entre la fin et les moyens, et cette erreur a entraîné des hommes considérés comme croyants à commettre de terribles crimes. C’est comme si vous disiez qu’en plantant des mauvaises herbes on peut récolter des roses. »

–  »Le vrai démocrate est celui qui, grâce à des moyens purement non violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son pays et finalement celle de l’humanité tout entière. »

– La plus grande force dont puisse disposer l’humanité est la non-violence. Elle est plus puissante que la plus puissante des armes de destruction élaborées par l’intelligence de l’homme.

–  »L’esprit sommeille dans la brute et c’est pourquoi elle ne connaît que la loi de la force physique. La dignité de l’homme demande l’obéissance à une loi plus haute, à la force de l’esprit. »

–  »La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents. »

–  »Homme et femme, chacun est complémentaire de l’autre. »

– ‘’Appeler les femmes « le sexe faible » est une diffamation ; c’est l’injustice de l’homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l’humanité, l’avenir appartient aux femmes.’’

Source :  »Tous les hommes sont frères » – Éditeur : Gallimard

Voir site : http://www.babelio.com/livres/Gandhi-Tous-les-hommes-sont-freres/12745

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EMMET FOX

(1886 – 1951)

QUE VOYEZ-VOUS ?
En général, que voyez-vous dans la vie ? Remarquez-vous constamment ce qui est erroné ou négatif ? Ou bien rendez-vous témoignage de la perfection inhérente de Dieu et de Sa création ?
Ces questions sont importantes parce que vos réponses vont vous permettre d’acquérir une meilleure connaissance de vous-même.
Ce que nous remarquons extérieurement n’est que le reflet de ce qui est en nous, parce que ce qui nous entoure est l’image de ce que nous croyons. En d’autres termes, nous manifstons, généralement, ce que nous pensons ou croyons profondément.
C’est pourquoi si nous désirons connaître notre façon de penser habituelle, nous n’avons qu’à regarder autour de nous et à nous demander ce que nous voyons réellement.
La Bible dit que nous ne devons pas faire de faux témoignages ; mais c’est exactement ce que nous faisons quand, par exemple, nous ne voyons pas la présence de Dieu dans toute situation ou quand nous prenons les apparences pour la réalité.
D’autre part, nous témoignons en faveur de Dieu quand nous voyons un homme sain où, en apparence, il y a un malade, quand, pardonnant à quelqu’un qui nous a fait du tort, nous voyons le Christ en Lui ; quand nous voyons la prospérité au lieu de la pauvreté parce que nous savons que Dieu pourvoit à tous les besoins, ou bien quand nous voyons la paix et l’harmonie sans tenir compte des circonstances apparentes.
Peut-être vous rappelez-vous ces lignes de Shakespeare : « Rien n’est bien ou mal, mais c’est la pensée qui le rend ainsi. »
Voyez-vous le bien partout ? Si ce n’est pas le cas, commencez dès aujourd’hui à vous y exercer. Vous serez surpris de constater avec quelle rapidité votre vie se transformera. »

(Affirmez la Sagesse Divine – Éditions Astra – 1979)

°°°

 »Nous ne devons pas nous attacher mentalement aux objets matériels, mais être toujours prêts à les laisser aller pour d’autres plus désirables…
La matière se détériore. L’Esprit, par contre, est invulnérable parce qu’Il est  »la substance ». Herbet Spencer définit la substance comme étant ce qui ne peut être ni inharmonieux ni impérissable. Webster dit qu’elle est  »ce qui souligne toute manifestation extérieure, ce qui en est la réalité, l’essence, la nature, la qualité inhérente – ce qui constitue ce qu’est toute chose ». Tout cela ne peut s’appliquer qu’aux choses de l’Esprit.
Nous sommes Esprit. Notre corps est spirituel, mais nous sommes Esprit. Notre être réel n’est jamais né et ne mourra jamais. Notre véritable nature est éternelle, divine ; elle est l’Esprit immuable. L’univers entier est une création spirituelle, mais nous le voyons circonscrit, et cet aspect circonscrit est ce que nous appelons la matière… Ainsi, l’usure, le délabrement, le péché, la maladie et la mort et tout ce que nous nommons  »la matière » ne sont perçus par nous que parce que nous voyons mal. Nous considérons que la vie s’étend de ce qui semble être la naissance à ce qui semble être la mort, mais ce n’est aussi qu’une illusion… Eucker nous dit :  »La réalité est un monde spirituel indépendant qui n’est pas conditionné par le monde apparent perçu par les sens » – et c’est ainsi qu’est la substance.
La matière n’existe pas au sens philosophique. Elle n’est pas, bien entendu, une hallucination, mais elle n’est pas non plus les choses de notre monde extérieur qu’elle semble être – ce que nous appelons notre monde concret.
La vie est un état de conscience, et le monde qui nous entoure fait partie de cet état conscient. Nous sommes conscients de certains objets et de certains évènements, mais il ne s’agit que de choses mentales, bien que nous leur donnions sans le savoir une existence objectice.
Le malheur n’est pas une obligation. Il n’est pas obligatoire d’être déçu, opprimé ou affligé. La maladie, les échecs ou le découragement ne sont nullement nécessaires ; seuls sont nécessaires le succès, la santé, la prospérité, l’abondance et la joie dans la vie. Succès et bonheur sont la condition naturelle de l’humanité. En vérité cela vous est plus facile à démontrer que le contraire…
Carl’homme peut dominer toutes choses lorsqu’il connaît la LOI de L’ÊTRE et s’y conforme. Et la LOI met le passé et l’avenir sous votre autorité. Elle vous rend maîtres du karma au lieu d’en être l’esclave… »

(Changer votre vie – Éditions Astra – 1976)

°°°

Se permettre de détester qui que se soit, – même si l’on a de bonnes raisons de le faire – C’est infailliblement attirer sur soi le malheur, et cela en raison directe de l’intensité de nos sentiments hostiles et du temps que nous y consacrons…
Le fait que Jésus ait appelé notre conscience le Lieu Secret est très significatif…. c’est le dedans qui est cause du dehors et non pas le dehors qui amène les conditions du dedans… un fait extérieur n’est pas davantage la cause d’un autre fait extérieur. Cause et effet vont de l’intérieur à l’extérieur. cette loi absolue, dès qu’elle a été formulée avec clarté, est facile à comprendre en théorie ; cependant, dans le tourbillon de la vie quotidienne, il est extraordinairement difficile de ne pas la perdre de vue. Telle est notre nature que nous ne pouvons concentrer notre attention que sur une chose à la fois… Nous oublions à chaque instant de mettre en pratique cette Loi Fondamentale, et il en sera ainsi tant que nous ne nous serons pas entraînés à nous surveiller rigoureusement. En attendant, même si nous l’enfreignons par oubli, le châtiment que comporte cette infraction ne nous sera pas épargné.
En dernière analyse il s’ensuit que rien n’a d’importance, rien n’a de sens véritable, si ce n’est un changement d’orientation dans le Lieu Secret. Pensons juste et, tôt ou tard, tout ira mieux. Mais s’il arrive que nous nous contentions de changer nos gestes sans modifier en rien nos pensées, non seulement nous aurons simplement perdu notre temps, mais il nous sera facile de nous bercer d’un sentiment trompeur de sécurité, et nous glisserons insensiblement sur la pente savonnée de l’hypocrisie.
… pour atteindre à la pureté de l’âme, il faut des années de prière vigilante et de disciplin mentale.
… les actes accomplis en silence dans le Lieu Secret sont ceux qui reçoivent vraiment l’approbation divine. Autrement dit, si nous prions notre Père en silence…,  »Notre Père qui voit dans le secret », nous récompensera.
…Répéter machinalement une phrase, comme un perroquet, ne sert à rien. Prier consiste surtout à adopter une attitude réceptive, à s’ouvrir à l’inspiration divine. Il n’est pas mauvais de choisir une phrase salutaire et de la répéter fréquemment, même si nous n’en saissons pas pleinement la portée spirituelle, pourvu, toutefois, que cet acte ne devienne pas automatique.
… La vraie méthode est de concentrer nos pensées sur ce que nous souhaitons voir se réaliser en ce moment précis.
Il est entendu que nous ne pensons pas avant tout, en priant, à certains résultats matériels ; mais lorsque nous sentons un vide dans notre vie, … c’est nous-mêmes, c’est notre âme que nous devons traiter ; et lorsque nous aurons assez prié pour corriger notre état d’esprit, ce vide sera comblé, comme par enchantement. Rempaçons donc cette impression de vide par le sentiment de l’Amour Divin, et ce qui nous manque apparaîtra de lui-même dans notre vie. Ne craignons donc point d’être précis et même trop pratiques dans nos prières… »

(Le sermon sur la montagne – Édition Astra – 1976)

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LA CLÉ D’OR
La Prière Scientifique vous permettre, tôt ou tard, de triompher de n’importe quelle difficulté ou d’aider votre prochain à faire de même.
C’est la Clé d’Or de l’harmonie et du bonheur… Qui que vous soyez, où que vous soyez, la Clé d’Or de l’harmonie est dans vos mains maintenant même…
Quand à la méthode pratique, comme tout ce qui est fondamental, elle est la simplicité même. Tout ce que vous avez à faire, c’est de ne plus penser à la difficulté qu’elle qu’elle soit, et de penser à Dieu. C’est la règle absolue, et si vous la suivez, toute difficulté sera vaincue.
Que celle-ci soit grave ou non, qu’elle concerne la santé, les affaires pécuniaires, un procès, une dispute, un accident, n’importe quoi enfin, n’y pensez plus, pensez à Dieu, c’est tout ce que vous avez à faire. Rien ne peut être plus simple, n’est-ce pas ? Dieu Lui-même n’aurait pu rendre cela plus facile, pourtant la réussite est certaine.
N’essayez pas de vous former une image de Dieu, ce qui est, bienentendu, impossible. Priez en méditant sur tout ce que vous savez sur Dieu. Dieu est Sagesse, Vérité, Amour. Dieu est présent partout, Sa puissance est infinie, Il sait tout, etc.
Peu importe que vous croyez comprendre toutes ces vérités, ou qu’elles vous semblent encore imprécises. Répétez-les. L’essentiel c’est de ne plus penser à ce qui vous préoccupe. La règle veut que vous pensiez à Dieu, à Lui seul, or si vous songez à vos difficultés, vous ne pensez pas à Lui. Regarder toujours derrière vous pour voir ce que deviennent vos affaires, est fatal, parce que c’est penser à vos soucis, et vous ne devez penser qu’à Dieu et rien qu’à Lui. Votre objet est de chasser de votre conscience la pensée qui vous préoccupe, pendant quelques instants au moins, pour lui substituer l’idée de Dieu. Voilà le point capital…
… Ne luttez pas fièvreusement, soyez calme mais persévérant. Chaque fois que votre attention divague, aiguillez-la vers Dieu.
N’essayez pas de deviner par avance la solution de votre problème. Cela ne sert qu’à retarder la démonstration. Laissez à Dieu le choix des moyens. Il suffit que vous vouliez vraiment sortir de vos ennuis. Faites ce qui vous incombe, et Dieu ne manqueras pas de faire le reste. »

(Le pouvoir par la pensée constructive – Édition Astra – 1975)

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GERALD G. JAMPOLSKY

 »Les autres n’ont pas besoin de changer pour que nous ayons l’esprit en paix. »

 »Lorsque nous choisissons l’Amour comme seul metteur en scène de notre vie, nous pouvons faire l’expérience de sa puissance et de ses miracles. »

 »Tout m’apparaît tel que je le souhaite. – systèmes de croyances et réalité : Nous sommes ce que nous croyons être. Notre système de croyances est basé sur notre expérience passée qui se rejoue constamment dans le présent, en prévoyant le futur à l’image du passé. Notre présent est à ce point coloré par le passé que nous sommes incapables de voir ce qui se passe dans l’immédiat sans distorsions ni limitations. Mais avec un peu de volonté, nous pouvons réexaminer notre image de nous-mêmes de manière à percevoir avec plus d’authenticité et de profondeur notre identité véritable. »

 »Nous sommes tous illimités. Pour vivre cette liberté totale, il est important de se détacher de toutes les préoccupations concernant le passé et le futur, et de choisir de vivre maintenant. »

 »Le pardon met fin à toute souffrance et à tout sentiment de perte… Je me donne tout ce que je donne… Le pardon est la clé du bonheur… Je ne suis pas la victime du monde que je vois. »

 »N’enseignez que l’Amour car c’est ce que vous êtes. » (Le cours sur les Miracles)

 »J’étais un psychiatre couronné de succès, qui semblait posséder tout ce qu’il désirait. Mais en moi règnaient le chaos, le vide, le malheur et l’hypocrisie. Un jour, j’entendis une voix intérieure me dire : »Médecin, soigne-toi toi-même : c’est ton chemin vers l’harmonie. »

 »Il n’y a que deux émotions : l’amour et la peur. La première est notre héritage naturel et l’autre, une création de notre esprit. En apprenant à me libérer de la peur, j’ai commencé à faire l’expérience d’une paix que je n’aurais jamais crue possible. »

(Aimer c’est se libérer de la peur – Éditions Soleil – 1986)

°°°

 »Ceux qui sont sans culpabilité sont sans peur, car ils sont en sécurité et le savent. »
 »Utilisez votre imagination à son maximum. Visualisez cette lumière allant vers les autres cellules de votre corps. Voyez votre corps se transformer en un faisceau lumineux. Voyez ensuite votre lumière se joindre et se mêler à tous les autres faisceaux lumineux de l’univers jusqu’à ce qu’il n’y ait plus qu’une seule lumière unverselle – devenant toujours plus radieuse.
Maintenant, pensez à quelqu’un qui vous irrite ou vous déprime – quelqu’un à qui vous n’avez pas complétement pardonné. Renoncez à cette perception erronée et coupable. Abandonnez ce passé et considérez-le comme un rêve qui s’est évanoui. Avec votre imagination, voyez cette personne avançant dans la lumière, devenant cette lumière même, et dites : « Je vous pardonne ainsi qu’à moi-même – nous sommes un et le même. Maintenant je peux dire adieu à la culpabilité et au blâme. »…
1. En vous réveillant le matin, rappelez-vous immédiatement que la paix de l’esprit, la paix de Dieu est votre seul but, aujourd’hui.
2. Pour avoir cette paix, choisissez de renoncer à toutes pensées négatives de peur, de culpabilité et de douleur que vous avez pu trouver dans votre esprit à votre réveil…
3. Rappelez-vous que Dieu veut aujourd’hui pour vous le bonheur parfait. Avec un sourire sur votre visage et dans votre coeur, allez dans le monde et partagez ce bonheur avec ceux que vous rencontrez. »…
 »La colère n’est rien d’autre qu’une tentative de culpabiliser quelqu’un. »
 »Ne vois personne coupable et tu affirmeras la vérité de ton innocence en toi-même. »
 »Celui qui transcende le corps a transcendé ses limites. »… »S’aimer, c’est se guérir. »…  »Seule ma condamnation me fait du mal. »
 »Les reproches : nous en adressons sans cesse aux autres et à nous-mêms, parce que le passé ne s’est pas déroulé conformément à nos souhaits.
La peur : elle ne nous quitte pas. Nous redoutons d’avoir à subir les mêmes déceptions dans un futur qui ne répondra pas davantage à nos attentes.
La peur et les reproches compromettent nos relations avec les autres, notre paix intérieure et, de proche en proche, la paix du monde.
Dès l’instant où, par la simple correction de nos perceptions erronées, nous réussissons à vivre  »sans peur et sans reproches », nous entrons dans la joie du présent. Un changement radical se produit en nous. Nous découvrons l’amour, notre réalité, dont nous étions coupés. En appliquant les principes de l’amour, nous développons la conscience d’une puissance plus grande que nous, peu importe comment nous la nommons : Source, Force, Principe ou Dieu. Elle brille à tout moment comme une lumière, en nous et dans l’univers. Elle a pour propriété l’expansion et transforme nos exigences et nos désirs dans la plénitude. Avec l’amour, nous n’avons plus d’autre besoin que de propager l’amour. »

(Sans peur et sans reproches – se délivrer de la peur grâce au pardon – Éditions Soleil –  1987)

°°°

 »L’expérience de l’amour et de la paix est la seule chose importante que l’on communique. C’est l’attitude du coeur et non ce qui se dit entre deux personnes qui fait le travail de guérison mutuelle. Une accumulation de connaissance verbale chez l’un ou l’autre n’a que peu d’utilité pour une guérison intérieure profonde. »
 »L’aide est déjà là… Je me souviens d’un jour, alors que j’avais quatre ou cinq ans, où j’étais couché dans l’herbe en train de regarder des fleurs, des montagne et le ciel. J’ai soudain senti Dieu très proche de moi. Je savais que l’étais totalement uni à tout ce que je voyais. Ce fut un instant durant lequel je ne doutai pas de la réalité spirituelle…  »
 »Rien n’est à faire avant que nous soyons prêts pour le faire… Ce qui était réel pour moi se limitait au domaine matériel. Et comme je n’étais qu’une toute petite partie de ce monde matériel, je pensais que j’en étais souvent la victime. Si bien que le contrôle auquel j’attachais tant d’importance était en fait très limité. Il ne m’était pas venu à l’idée que la volonté de Dieu pouvait être cette partie en moi et en chacun, qui représente nos plus profondes aspirations et nos désirs les plus remplis damour. Pas une seule fois ai-je pensé que la volonté de Dieu et ma volonté réelle étaient les mêmes. Dans la vie de la plupart des gens et quel que soit le degré de leur croyance en Dieu, il existe de ces brefs instants durant lesquels l’obscurité disparaît, ce qui permet de connaître une paix et une joie qui ne sont pas de ce monde. Je me rappelle qu’un de ces moments se produisit au cours de ma troisième année de médecine. À ce moment-là, je sus vraiment qu’il y avait un Dieu. C’était la nuit et je venais de faire acoucher mon premier bébé à la maternité. Le miracle de la perfection et de l’harmonie dont j’avais fait l’expérience ne pouvait que dépasser les capacités de compréhension d’un homme.  J’étais rempli d’un profond respect : je sentais qu’il existait une force universelle, un miracle d’amour au-delà de ce que je pouvais concevoir. Et je faisais partie de ce miracle, je faisais partie du tout. Pendant cet instant, je vis que rien n’était séparé dans l’univers et que toutes choses et tous les individus étaient unis. »

 »Réagissez toujours avec bienveillance… Nous demandons de l’aide et elle nous est donnée. Souvent, nous ne nous rendons pas compte chez les autres que l’alcoolisme, les infidélités sexuelles, les maladies chroniques et les attitudes de désaffection sont en réalité des appels à l’aide. Mais, indiscutablement, Dieu se rend compte de tout appel, quel qu’en soit la forme, et trouve le moyen de nous donner toute l’aide que nous sommes disposés à recevoir à ce moment-là. L’aide me vint sous la forme du  »Cours sur les Miracles », mais je précise que je ne m’en suis pas rendu compte. J’ai commencé à le lire par devoir. Ensuite, je fus stupéfait de ce qui se produisit. À un moment donné, et à un niveau en moi d’une profondeur que je ne soupçonnais pas, j’eus la certitude absolue d’avoir trouvé ma voie. Je fus néanmoins déconcerté lorsque je me rendis compte que j’avais entendu en moi une voix qui disait : »Médecin, guéris-toi toi-même. »…

 »Ce fut en octobre 1975, environ cinq mois après avoir débuté la lecture du cours, qu’une expérience décisive se produisit. Un dimanche soir, j’étais sorti dîner en compagnie d’amis de Carmel. J’avais beaucoup bu, mais pas plus que d’habitude, et je ne me sentais pas ivre. Je me couchais à minuit, mais vers deux heures du matin je fus réveillé par une voix. Je crus un instant être la proie d’hallucinations, et je m’attendis à voir des éléphants roses sur le mur et à finir par une crise de delirium tremens. J’eus peur et je m’assis immédiatement dans mon lit. J’entendis de nouveau la voix. Cette fois-ci, elle était en moi et non à l’extérieur. Puis elle se manifesta pour la troisième fois :  »Tu commences une nouvelle phase de guérison, tu n’as plus besoin de boire. »… »Trois mois après avoir entendu cette voix, j’avais perdu quatorze kilos, passant de quatre-vingt-sept à soixante-treize. Ce fut merveilleux pour moi de porter tous mes vêtements chez le tailleur pour les faire reprendre. C’était comme si je confirmais la réalité d’un miracle dont une partie de moi doutait encore qu’il se fût produit. »

‘Rien de réel ne peut être menacé. Rien d’irréel n’existe. En cela se trouve la paix de Dieu.
 »La santé est la paix intérieure. C’est pourquoi la guérison est l’abandon de la peur. Considérer la transformation du corps comme notre but, c’est ne pas voir que notre seule but est la paix de l’esprit. »

 »L’essence de notre être est l’amour. L’amour ne peut être entravé par ce qui est purement physique. Par conséquent nous croyons que l’esprit n’a pas de limites ; rien n’est impossible ; il n’y a pas de maladie irréversible. Et comme l’amour est éternel, nous n’avons pas à craindre la mort. »

Notre but est la paix. Pour avoir la paix, il nous faut reconnaître ce qui est déjà en paix en nous-mêmes. L’endroit où se trouve la paix se situe dans notre esprit. Le corps ne peut nous dire comment nous nous sentons, car c’est notre esprit et la façon dont nous choisissons de l’utiliser qui engendre ce dont nous faisons l’expérience. Nous ne sommes pas victimes de notre corps et rien ne peut réellement menacer notre esprit. C’est pour cette raison qu’il y a toujours une voie vers la liberté. Aussi, le premier principe de la guérison des attitudes est-il : La santé est la paix intérieure… »

 »Nous avons ce à quoi nous nous identifions. »…  »Il n’y a pas de limite à ce qui est bon. »…  »Nous commençons à devenir conscients de l’amour chaque fois que nous acceptons les gens sans les juger et que nous essayons simplement de donner sans penser à obtenir quelque chose enretour. Cela signifie, par exemple, que l’amour vrai ne consiste pas à donner pour transformer la mauvaise humeur de quelqu’un en bonne humeur ou son ingratitude à notre égard en reconnaissance. L’amour vrai est une forme de don totalement pur et libre. Il s’étend librement à l’amour chez les autres et il est lui-même sa propre récompense. »… L’amour est notre essence. »

 »Rien de réel n’est impossible. »…  »Il n’y a pas de degré de difficulté dans les miracles. »(Cours sur les Miracles)
 »Le jugement est aveugle. Seul l’amour voit. »..  »L’amour est éternel. »…  »Notre attention détermine notre expérience. »…  »Guéris-toi toi même…. Tous les esprits sont unis. C’est pourquoi, toute guérison est une guérison de nous-mêmes. Notre paix intérieure s’étendra d’elle-même aux autres lorsque nous l’accepterons pour nous-mêmes. »

 »Tous les esprits sont unis dans l’amour. Penchons-nous un instant sur l’idée qu’il existe un esprit universel qui unit tout, une intelligence qui pénètre tout, et considérons également son corollaire : il n’y a pas d’esprit séparé. »

 »La culpabilité est une négation du présent. »…  »Il n’est besoin de rien pour être ici et maintenant. »… »Le pardon n’a pas de limite. »…

 »Le corps reflète le contenu de notre esprit. Si celui-ci est en paix, notre corps l’est également. Or, on ne peut se forcer à avoir l’esprit en paix car la force n’est pas la paix. Notre esprit est relié à tous les autres esprits, et s’il est en paix, c’est la paix que nous transmettons et que nous donnons aux autres…La paix intérieure se transmet aux autres… Rappelons-nous chaque jour, chaque minute, chaque seconde, rappelons-nous particulièrement le matin au réveil que, lorsque nous acceptons la paix pour nous-mêmes, cette paix est reçue à un certain niveau par chacun à travers le monde. C’est cela qui va transformer le monde. Nous ne transformerons pas le monde en attaquant ceux qui sont pour l’attaque. »

(N’enseignez que l’Amour – Éditions Soleil – 1989)

°°°

 »Je ne suis jamais perturbé pour la raison que je crois. »… »Je peux échapper au monde que je vois en renonçant à mes pensées agressives. »…
 »Il existe une autre façon de voir le monde. »… »Le monde que je vois par les yeux de la peur est vraiment menaçant. Pourtant, il existe une autre façon de voir les personnes et les choses qui me sont familières, comme si je les voyais pour la première fois. Débarrassé de mes peurs issues du passé, je peux faire l’expérience de la beauté, de la joie et du contentement qui se trouvent partout autour de moi et chez tous les gens qui font partie de ma vie. »

 »En mon attitude non défensive réside ma sécurité. »…  »Seule ma propre condamnation me blesse. »…
 »Toute démarche de santé et d’évolution personnelle reste incomplète sans un travail sur les relations pour se délivrer des émotions négatives (jugement, peur, colère, frustration, etc.) et de la co-dépendance (où chacun essaie de faire changer les autres plutôt que de se changer lui-même). »

(Donner c’est recevoir – Éditions Soleil – 1990)

°°°

 »Si je peux être optimiste aujourd’hui, moi qui me croyais perdu et me tenais pour le plus indigne et le plus inadéquat de tous les hommes, soyez assuré qu’il y a de l’espoir pour vous aussi. »

 »La vie est pour l’ego un jeu de cache-cache. Nous nous cachons l’amour qui est en nous, puis nous le cherchons à l’extérieur où il est toujours introuvable. »

 »À l’arrière de ma Honda Civic modèle 78, j’ai un autocollant qui dit : ATTENDEZ-VOUS À UN MIRACLE. C’est ce que j’ai fais.
J’ai la convction qu’il n’y a qu’un seul attachement qui puisse sauver le monde et y apporter la paix, c’est l’attachement à se donner les uns aux autres un amour inconditionnel.
Un amour vrai s’accompagne toujours d’un sentiment d’émerveillement propre aux enfants et fait toujours apprécier le mystère de la vie qui est au-delà de notre compréhension humaine. »

 »Aimer, c’est Écouter et Écouter, c’est Aimer. »…  »Lorsque le monde se libérera de toute culpabilité, seuls existeront l’amour rt la paix. »…
 »Transformer la peur en compassion et en amour. Ouvrez votre coeur à l’amour de Dieu et tout besoin que vous pensiez avoir disparaîtera. »

 »Chacun est un maître pour nous… Nous pouvons tous faire que cela soit différent lorsque nous mettons fin à l’indifférence et lorsque nous abandonnons nos désirs égoïstes… »

 »Rien n’est impossible. Lorsque vous avez foi et confiance en Dieu, rien n’est impossible ; il y a de l’espoir, il y a toujours de la joie, il y a toujours de l’amour et il y a toujours le calme et la paix. »

 »Quelle que soit la question… le problème,…la peur…, la maladie…, la douleur…, l’amour est la réponse.
L’amour est toujours la réponse car l’amour est tout ce qui est. »

(Mon chemin vers la Lumière – Chemin de guérison intérieure -Éditions Vivez Soleil – 1991)

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