Depuis Août 2013
411 visites
HISTOIRES À MÉDITER

LEVER DU SOLEIL

l’âne au fond du puits

Une belle leçon de vie!


Un jour, l’âne d’un fermier est tombé dans un puits.
L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l’animal était vieux
et le puits devait disparaître de toute façon,
ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.


Il a invité tous ses voisins à venir et à l’aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l’âne dans le puits.
Au début, l’âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s’est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits
et a été étonné de ce qu’il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l’âne faisait quelque chose de stupéfiant.
Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal,
il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l’âne soit hors du puits et se mit à trotter!’



La vie va essayer de t’engloutir de toutes sortes  »d’ordures ».
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais.
Il ne faut jamais abandonner!
Secoue-toi et fonce!


Rappelle-toi, les cinq règles simples à ne jamais oublier,
surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1 : Libère ton cÅ“ur de la haine.
2 : Libère ton esprit des inquiétudes.
3 :Vis simplement.
4 : Donne plus.
5 : Attends moins

Auteur inconnu

(Ce B.A.-BA du mieux vivre ensemble a été transmis via e.mail
par de  »Bons.Amis.-Bienveillants Aimants »;-) !!! )

IMG 2734-2

1ère version

UNE SEULE TRACE DANS LE SABLE

Au cours de la nuit de Noël, je fis un songe :

cheminant sur la plage avec le Christ,

je vis la toile de ma vie refléter tous les jours des années écoulées.

Je regardai en arrière et j’aperçus sur le sable des traces de pas,

les miennes et celles du Seigneur.

Ensemble nous continuâmes d’avancer

jusqu’à ce que mes jours fussent achevés.

Alors, à nouveau, j’ai regardé en arrière et j’ai constaté

que par endroits il n’y avait qu’une seule trace.

Cela coïncidait exactement avec les jours

les plus difficiles de ma vie :

les jours de plus grande angoisse et de plus grande peur,

et de plus grande douleur.

J’ai interrogé le Seigneur :

« Tu m’avais pourtant promis que Tu serais avec moi

tous les jours de mon existence.

J’avais accepté de vivre avec Toi :

pourquoi m’as-Tu laissé seul dans les pires moments ? »

Le Seigneur me répondit :

« Mon fils, Je t’aime,

c’est vrai, Je t’avais promis d’être avec toi

durant toute la randonnée

et de ne jamais te laisser seul.

J’ai tenu ma promesse :

quand sur le sable il n’y a qu’une seule trace

c’est que, ces jours-là, Je te portais dans mes bras. »

D’après Ademar De Borros

Poète brésilien

2ème version

DES PAS DANS LE SABLE

Une nuit, je fis un rêve :

je cheminais sur la plage avec mon Seigneur.

Sur le ciel noir, des épisodes de ma vie furent projetés

comme sur un immense écran.

Et sur le sable je voyais à chaque fois deux traces de pas :

les miens et ceux de mon Seigneur.

Après la dernière scène de ma vie, je me retournai.

Je fus surprise de voir par endroits

les traces d’une seule personne.

Je me rendis compte

que je traversais alors les moments les plus difficiles

et les plus tristes de ma vie.

Inquiète, je demandai au Seigneur :

« Le jour où j’ai décidé de te suivre

Tu m’as dit que Tu marchais toujours avec moi.

Mais je découvre maintenant

qu’aux pires moments de ma vie,

il n’y a les empreintes que d’une seule personne.

Pourquoi m’as-tu abandonnée

lorsque j’avais le plus besoin de Toi ? »

Il me répondit :

« Mon enfant chérie, Je t’aime

et Je ne t’abandonnerai jamais, jamais, jamais,

surtout pas lorsque tu passes par l’épreuve.

Là où une seule personne a marqué le sable de ses pas,

c’était Moi qui te portais. »

Margaret Fishback Powers

100-0240

CONTE CHINOIS

Un mandarin partit un jour dans l’au-delà.

Il arriva d’abord en enfer.

Il y vit beaucoup d’hommes

attablés devant des plats de riz ;

mais tous mouraient de faim,

car ils avaient des baguettes longues de deux mètres

et ne pouvaient s’en servir pour se nourrir.

Puis, il alla au Ciel.

Là aussi, il vit beaucoup d’hommes

attablés devant des plats de riz ;

et tous étaient heureux et en bonne santé.

Eux aussi avaient

des baguettes longues de deux mètres,

mais chacun s’en servait

pour nourrir celui qui était assis en face de lui.

IMG 2555-2

 

 

Cont@ct: unlouis.tissot@orange.fr

Rencontre sur rendez-vous: 02 41 64 49 09